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CÉCILE AENISHAENSLIN

DIRECTRICE
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Cécile Aenishaenslin est professeure à la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche en santé publique et au Groupe de recherche en épidémiologie des zoonoses et santé publique.

Médecin vétérinaire et épidémiologiste, Dre Aenishaenslin est également formée en santé publique et en études internationales. Chercheuse boursière des Fonds de la recherche du Québec en Santé, elle mène des travaux de recherche transdisciplinaire qui visent à mieux comprendre les effets des changements globaux sur les maladies animales et zoonotiques et à développer des interventions, programmes et politiques cohérents avec l'approche "Une seule santé".

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JEAN-PHILIPPE ROCHELEAU

CO-DIRECTEUR

Titulaire d’un doctorat en médecine vétérinaire et d’un PhD en épidémiologie de l’Université de Montréal, Jean-Philippe Rocheleau a débuté sa carrière comme clinicien en médecine et chirurgie des animaux de compagnie, puis comme professeur et coordonnateur du département de Santé animale au Cégep de Saint-Hyacinthe. Il est professeur associé à la Faculté de médecine vétérinaire depuis 2019.

 

Ses travaux visent aujourd’hui l’application des principes "Une seule santé" à divers enjeux à l’interface humain-animal-environnement. Il privilégie l’applications de méthodes épidémiologiques, d’analyses spatiales et de recherche qualitative à l’analyse intégrée des données provenant de différentes espèces, incluant l’humain.

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Cécile
Co-chercheur(e)s
CO-CHERCHEUSE

 

Catherine Bouchard est vétérinaire épidémiologiste à l'Agence de Santé Publique du Canada et professeure associée à l'Université de Montréal. Ses travaux de recherche portent principalement sur l'amélioration des modèles de risque et la modélisation spatio-temporelle des maladies transmises par les tiques, l'optimisation de la surveillance, l'élaboration/évaluation de l'efficacité des interventions et l'avancement des pratiques de santé publique au Canada en ce qui concerne les maladies transmises par les tiques. 

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Patrick A. Leigton

CO-CHERCHEUR

 

Patrick Leighton est professeur titulaire en épidémiologie et santé publique à la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal. Dans le cadre de ses travaux de recherche, il s'intéresse à l'impact des changements écologiques sur l'épidémiologie des maladies infectieuses zoonotiques. Il est actuellement directeur du Canadian Lyme Disease Research Network (CLyDRN).    

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Étudiant(e)s doctorat
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Sarah Mediouni

Étudiante au doctorat

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Natasha Bowser

Étudiante au doctorat

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Léa Delesalle

Étudiante au doctorat

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Manon Boiteux

Étudiante au doctorat

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Nikky Millar

Étudiante au doctorat

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Vìtoria Régia Lima Campêlo

Étudiante au doctorat

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Olivier Kambere Kavulikirwa

Étudiant au doctorat

Étudiant(e)s maîtrise
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Raphaëlle Audet-Legault

Étudiante à la maîtrise

Jessica Hainault

Étudiante à la maîtrise

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Benjamin Jacobek

Étudiant à la maîtrise

Équipe de recherche

Elizabeth Dyer

Agente de recherche

Juliette Di Francesco

Stagiaire postdoctorale

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Héléna Ladreyt

Stagiaire postdoctorale

Mélanie Dappen

Coordonnatrice Parcs en Santé

BIOGRAPHIE DES MEMBRES DE L'ÉQUIPE

Natasha
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Natasha Bowser

ÉTUDIANTE AU DOCTORAT | 2019

Évaluer l’adaptation de la population canadienne à la maladie de Lyme dans une perspective « Une seule santé ».

Natasha a obtenu son diplôme de médecine vétérinaire au Royal Veterinary College de Londres en 2010. Elle a ensuite travaillé pendant huit ans dans la pratique clinique des équidés et des animaux de compagnie au Royaume-Uni et au Canada.Après s’être intéressée aux zoonoses et à la résistance aux antimicrobiens, elle a entrepris une maîtrise à temps partiel dans le cadre de « Une seule santé », qu’elle a complétée en 2018. Le sujet de sa thèse était l’utilisation des chiens comme sentinelles pour les maladies infectieuses humaines.

Natasha a rejoint le PhD en sciences vétérinaire (option épidémiologie) à l'Université de Montréal en 2020, sous la supervision de Cécile Aenishaenslin et Catherine Bouchard. Son projet de recherche a pour objectif d'évaluer l'adaptation de la population canadienne à la maladie de Lyme, en utilisant des méthodes mixtes. 

Léa
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Léa Delesalle

ÉTUDIANTE AU DOCTORAT | 2019

Priorisation des interventions de contrôle des risques liés aux populations de chiens au Nunavik.

Léa est vétérinaire et actuellement étudiante au doctorat épidémiologie sous la direction de André Ravel et de Cécile Aenishaenslin. Sa thèse a pour objectif d’identifier des interventions durables pour répondre aux enjeux "Une seule santé" liés aux chiens dans les communautés nordiques du Québec, grâce notamment à une approche participative. Son intérêt pour les enjeux de santé à l’interface humain-animal-environnement a pris corps dès la fin de sa formation en médecine vétérinaire, avec une thèse d’exercice sur l’usage des antibiotiques en élevage avicole.

 

Elle a ensuite suivi une maîtrise en Gestion Intégrées des Maladies Animales Tropicales dispensée par l’ENVT et le CIRAD (France) et réalisé une cartographie du risque de la transmission de pathogènes du sanglier au porc domestique. En outre, elle se passionne également pour la vulgarisation scientifique. Elle co-réalise notamment le balado « Science Infuse » pour le GREZOSP.

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Sarah
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Sarah Mediouni

ÉTUDIANTE AU DOCTORAT | 2019

Évaluation du Programme intégré canadien de surveillance de la résistance aux antimicrobiens dans une approche « Une seule santé »

Sarah a gradué de l’école nationale de médecine vétérinaire de Tunisie en 2017. Ayant obtenu une bourse d’excellence pour master de recherche et doctorat à l’étranger, elle a suivi le programme de maîtrise en santé publique à l’université de Montréal au cours duquel elle a travaillé sur les expositions humaines à la rage au sein des communautés Inuit du Nunavik (Québec-Canada), notamment à travers les morsures de chiens.

Sarah est actuellement étudiante au PhD à la faculté de médecine vétérinaire de l’université de Montréal, sous la direction de Cécile Aenishaenslin et la co-direction d’Hélène Carabin. Son projet consiste à évaluer les impacts économiques et sur la santé du Programme intégré canadien de surveillance de la résistance aux antimicrobiens (PICRA).

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Nikky
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Nikky Millar

ÉTUDIANTE AU DOCTORAT | 2018

Impacts et acceptabilité d’une restriction de l’utilisation des antimicrobiens de catégorie 1 en production laitière

Après avoir complété son doctorat en médecine vétérinaire à l’Université de Montréal en mai 2019, Nikky a débuté un doctorat en sciences vétérinaires, option épidémiologie à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal en direction de Cécile Aenishaenslin et en co direction avec Simon Dufour.  Elle s’intéresse particulièrement à l’antibiorésistance et aux différents systèmes de surveillance de l’utilisation des antibiotiques à l’interface humain, animaux et environnement. 

Son doctorat a d’ailleurs pour objectifs de 1) déterminer les impacts de la mise en œuvre d’un nouveau règlement visant à restreindre l’utilisation des antimicrobiens de catégorie I en production laitière sur la vente des médicaments vétérinaires au Québec 2) Identifier les mesures à mettre en place pour une utilisation plus judicieuse des antibiotiques. 

Elle s'intéresse principalement aux approches mixtes.

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Victoria
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Vitoria Régia Lima Campêlo

ÉTUDIANTE AU DOCTORAT | 2020

Vitória a complété son diplôme en médecine vétérinaire à l'Université de Brasília à la fin de l'année 2019. Au cours de ses études, elle a l'opportunité d'effectuer des stages dans des organismes de contrôles des maladies infectieuses, le ministère de l'Agriculture du Brésil (MAPA). Elle s'est développée ainsi, un intérêt pour le contrôle et le diagnostic des maladies infectieuses. Suite à l'obtention de son diplôme, elle a travaillé en tant que vétérinaire, elle s'est investie au diagnostic de la morve et de l'anémie infectieuse équine dans un laboratoire vétérinaire au Brésil.​

 

En septembre 2020, elle a commencé une maitrise en épidémiologie à l'Université de Montréal sous la direction de Simon Dufour et la codirection de Cécile Aenishaenslin et Manon Racicot.

En utilisant une approche mixte (qualitative et quantitative), son projet de recherche vise à décrire le statut de biosécurité des fermes laitières au Canada et à comprendre les difficultés auxquelles les producteurs laitiers peuvent être exposés et qui les empêchent d'appliquer des mesures de biosécurité dans leurs fermes.

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Manon Boiteux

ÉTUDIANTE AU DOCTORAT | 2024

Manon Boiteux est titulaire d’une maîtrise en sciences de l’environnement et travaille depuis plusieurs années dans le milieu de la recherche académique en tant que conseillère à la recherche et coordonnatrice du projet Construire l’avenir durablement du Laboratoire d'innovation du Vice-Rectorat à la recherche, à la découverte, à la création et à l’innovation de l'Université de Montréal. Elle a notamment contribué à la mise en place de l’Initiative Une Seule Santé de l’Université de Montréal. 

Son projet de doctorat interdisciplinaire en Une Seule Santé porte sur l’évaluation de la science participative comme outil de surveillance et d’amélioration des connaissances et comportements face aux risques de maladies transmises par les tiques et à la conservation des écosystèmes des parcs périurbains au Québec. 
 

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Olivier
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Olivier Kambere Kavulikirwa

ÉTUDIANT AU DOCTORAT | 2023

Olivier Kambere Kavulikirwa est un doctorant en santé mondiale à l'École de santé publique de l'Université de Montréal (ESPUM) au Canada, affilié conjointement au Département des sciences de la santé publique de l'Université de Liège en Belgique. Dans le cadre du projet DESIGN, il explore, sous la supervision de Cécile Aenishaenslin, de Nicolas Antoine-Moussiaux et de Hélène Carabin,  les impacts des politiques et programmes d’antibiogouvernance en utilisant l'approche "One Health".

 

Olivier est spécialiste en "One Health" avec un Master spécialisé en Gestion Intégrée des Risques pour la Santé de l'Université de Liège, de l'Université de Namur et de l'Université Libre de Bruxelles en Belgique. Il est également titulaire d'un doctorat d’Etat en médecine vétérinaire de l'Université catholique de Graben à Butembo, en République démocratique du Congo, ainsi que d'un certificat professionnel en gestion de l'innovation pour la santé durable de Karolinska Institute, en Suède. Kavulikirwa a acquis une vaste expérience dans la gestion des urgences sanitaires et les interventions humanitaires, notamment pendant l'épidémie complexe d'Ebola en République démocratique du Congo entre 2018 et 2020. Depuis 2015, Olivier travaille à l'Université catholique de Graben à Butembo (UCG) en tant qu'assistant d'enseignement et de recherche.

 

Raphaëlle
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Raphaëlle Audet-Legault

ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE | 2022

Éco-épidémiologie de l’anaplasmose dans l’environnement péridomestique en Estrie.

 

Raphaëlle a complété son doctorat en médecine vétérinaire à l’Université de Montréal en mai 2018. Elle a ensuite effectué un internat général (2019) puis un internat spécialisé en neurologie (2020) au Centre Vétérinaire Rive-Sud. Elle a ensuite travaillé pendant 2 ans en urgence, en neurologie et en pratique générale. Depuis mai 2022, elle est inscrite à la maîtrise en sciences vétérinaires, profil épidémiologie. Elle a un intérêt pour les zoonoses et les sujets abordant l’environnement et les changements climatiques.

Son projet de maîtrise, dirigé par Dre Catherine Bouchard et codirigé par Dre Cécile Aenishaenslin et Dr Jean-Philippe Rocheleau, s’intéresse à une maladie en émergence transmise par les tiques, l’anaplasmose. Sa recherche vise à obtenir une meilleure compréhension de l’éco-épidémiologie de l’anaplasmose dans le contexte québécois en étudiant les relations entre la bactérie, les tiques, les hôtes réservoirs et les facteurs environnementaux impliqués dans son cycle de transmission.

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Jessica
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Jessica Hainault

ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE | 2024

Jessica est étudiante au baccalauréat en bioécologie (promotion 2024) et travaille au sein du GREZOSP depuis 2022. Elle coordonne plusieurs projets de recherche sur le terrain, notamment le projet PARCS en santé. Curieuse de nature et portant un intérêt particulier aux interactions entre les organismes vivants, elle apprécie grandement le travail en plein air.

En mai 2024, elle débute une maîtrise en sciences vétérinaires, profil épidémiologie. Son projet de recherche, sous la direction de Cécile Aenishaenslin et la codirection de Patrick A. Leighton et d’Ariane Dumas, portera sur l’évaluation de l’effet de l’abondance relative des cerfs et d’autres variables écologiques sur le risque environnemental de maladies transmises par les tiques dans les parcs-nature périurbains.

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Benjamin
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Benjamin Jacobek

ÉTUDIANT À LA MAÎTRISE | 2022

Ben est actuellement résident vétérinaire en gestion de la santé de la faune (2021-2024) à l'Université de Montréal. Il est également étudiant à la maîtrise en épidémiologie sous la direction de Jean-Philippe Rocheleau et co-direction de Patrick Leighton. Sa thèse vise à optimiser les interventions environnementales de réduction du risque de maladie de Lyme à Bromont. Lorsqu'il n'est pas sur le terrain pour capturer et immobiliser la faune, Ben travaille sur divers projets de recherche liés à la santé de la faune, notamment sur la transmission terre-mer de Toxoplasma gondii chez les bélugas de l'estuaire du Saint-Laurent. Il s'intéresse particulièrement aux problématiques liées à l'interface humain-faune et à la recherche de solutions "Une seule santé" à ces problèmes.


Ben a obtenu son diplôme vétérinaire (DVM) de Cornell University en 2020 et son baccalauréat de sciences (BSc.) de l'University of British Columbia en 2015.

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Elizabeth

Elizabeth Dyer

AGENTE DE RECHERCHE | 2022

Elizabeth a commencé sa carrière d’abord comme technicienne en santé animale dans un hôpital spécialisé dans les soins des oiseaux et animaux exotiques, où elle a travaillé pendant plus de 20 ans. C’est ici qu’elle développe son intérêt pour les zoonoses, étant exposée à une grande variété d’espèces animales et donc une grande variété de pathogènes transmissibles aux humains.

 

Après avoir complété un baccalauréat en biologie à l’Université Concordia, elle obtiendra une maîtrise en sciences vétérinaires – option santé publique à l’Université de Montréal, tout en continuant son parcours professionnel au sein d’une équipe de laboratoire de diagnostic vétérinaire. Dans le cadre de sa maîtrise, elle a complété un stage avec le Ministère de la faune au cours duquel elle a contribué à l’élaboration d’outils de référence visant à mieux encadrer le travail des personnes oeuvrant en réhabilitation de la faune.

L’approche « une seule santé » s’inscrit particulièrement bien avec ses convictions quant à l’interdépendance entre les personnes, les animaux, et l’environnement. Elizabeth collabore sur plusieurs projets de recherche en lien avec l’épidémiologie des zoonoses.

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Juliette

Juliette Di Francesco

STAGIAIRE POSTDOCTORALE | 2023

Juliette est vétérinaire, diplômée de l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort en 2014. Elle s’est ensuite spécialisée en épidémiologie en suivant le Mastère spécialisé de santé publique proposé par l’Institut Pasteur et le Cnam à Paris avant de compléter un PhD à l’Université de Calgary, au Canada. Son projet portait alors sur les biomarqueurs du stress physiologique chez les bœufs musqués et liait les savoirs traditionnels Inuits et la science occidentale.

 

Après un premier stage postdoctoral à l’Université de Californie, Davis aux États-Unis, Juliette a commencé à travailler à l’UdeM en septembre 2023, où elle participe au projet « Nunamit Takunnatut: Eyes on Wildlife/Community-led Wildlife Health Monitoring for a Resilient and Healthy Nunavik » mené par le Centre de Recherche du Nunavik. Celui-ci a pour objectif de coconstruire, avec les communautés locales, un système de surveillance de la santé de la faune pour le Nunavik. Juliette travaille également en tant que réserviste dans l’armée française, comme vétérinaire épidémiologiste dans le Service de veille et anticipation du Centre d'épidémiologie et de santé publique des armées.

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Héléna Ladreyt

STAGIAIRE POSTDOCTORALE | 2023

Héléna est vétérinaire épidémiologiste et inspecteure de santé publique vétérinaire. Elle a fait ses études à Nantes puis à Lyon, pendant lesquelles elle a également obtenu un master de politiques publiques de l’alimentation et gestion des risques sanitaires auprès de Sciences-Po Lyon. Attirée par l’étude des zoonoses vectorielles et leur impact en santé humaine, elle a réalisé son PhD au sein du laboratoire de santé animale de l’ANSES (Paris), du CIRAD (Montpellier) et de l’institut Pasteur du Cambodge (Phnom Penh), sur la modélisation de l’encéphalite japonaise au Cambodge et à l’île de La Réunion. Sensible au lien entre données et modèles, elle a passé plusieurs mois sur le terrain pour récolter des données de séroprévalence et d’abondance vectorielle qui lui ont permis de calibrer ses modèles. Elle s’est ensuite tournée vers des approches plus qualitatives pour son premier postdoc au CIRAD sur l’évaluation du processus de co-construction de l’initiative internationale PREZODE – PREventing ZOonotic Diseases Emergence.
 

Elle est aujourd’hui encadrée par Cécile Aenishaenslin en tant que postdoc pour 1) évaluer l’acceptabilité sociale des interventions de régulation des populations de cerfs, 2) réaliser des analyses multicritères pour comparer et prioriser les interventions de contrôle visant les rongeurs pour la prévention des maladies transmises par les tiques, et 3) appuyer les activités de terrain visant à analyser la relation entre l’abondance des cerfs et le risque acarologique dans les parcs.

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Melanie
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Mélanie Dappen

Coordonnatrice Parcs en Satné | 2024

Biologiste de formation, Mélanie a travaillé pendant près de 15 ans au sein de l’organisme GUEPE à titre de directrice régionale. Elle a été responsable des services éducatifs, de la formation aux employé.e.s, du développement des contenus éducatifs et de l’ensemble des projets réalisés dans la grande région métropolitaine. Son expérience l’a mené à interagir avec des clientèles très variées, dans de nombreux contextes et à collaborer avec des partenaires issus de différents secteurs (académique, municipal, gouvernemental, communautaire, philanthropique, etc.). Elle a également développé de nombreuses formations, des ateliers et des outils éducatifs notamment sur la biodiversité, l’enseignement en plein air, l’interprétation des espaces verts ou sur la coexistence avec la faune. Mélanie est reconnue pour son expertise à vulgariser et sensibiliser le public et possède de solides aptitudes en gestion de projets. Les parcs-nature sont son terrain de jeu préférée et le projet Parcs en Santé représente pour elle une superbe continuité à son parcours.

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